La PPR a été la seule réponse du Loiret.
Voici les réponses :
Suite aux deux canicules et à la sécheresse particulièrement longue de 2019, le premier ministre a demandé aux différents ministères un retour sur les difficultés rencontrées.
Remarques envoyées par la PPR
– cycle de l’eau : il est évident que les étangs privés qui s’alimentent pas des ruissellements consécutifs aux pluies inexistantes en période de sécheresse prolongées (2019) baissent ou s’assèchent.
Sur les étangs privés ou publics situés sur une rivière qui ne s’assèche pas, les étangs tiennent et le principe du volume d’eau sortant égal au volume entrant fonctionne. Sur les étangs liés aux rivières superficielles qui décrochent en l’absence de pluie, ces étangs baissent.
Les moyens :
Les termes de stockage, régulation d’eau restent d’actualité.
Dans certains lieux, on peut mobiliser la ressource souterraine temporairement pour éviter la catastrophe aquaculture ou économique ou biodiversité.
Certains petits étangs gagneraient à être curés ou approfondis.
Expérience récente à ne pas faire sur la dite contiunitué écologique :
. Un plan d’eau communal a été désolidarisé de la rivière qui coule toute l’année et malgré l’extrême sécheresse de 2019. Cet étang a baissé de 1 m et ainsi cela a porté atteinte aux loisirs-détente de la commune et a conduit à la disparition des pêcheurs à la ligne.
Contrairement à ce qui se dit, les étangs, pleins par leur poids d’eau toute l’année, contribuent à la réalimentation des nappes souterraines.